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Bienvenue dans mon monde...

Que vous soyez amateur de jeux SM ou de D/s, de sensualité ou de cérébralité, ou tout simplement curieux, je vous souhaite la bienvenue ici...

Prenez le temps de voyager au fil des récits. Partagez avec moi les joies et les peines. Visitez les galeries photos (qui viendront bientôt)....

Naviguez, voguez, reposez-vous, délassez-vous. Vous êtes ici chez vous.


Votre humble hotesse, Lily
Dimanche 23 mai 7 23 /05 /Mai 00:40

Depuis le jour où j'ai publié une photo de moi, en tant que soumise, à visage découvert, je reçois très régulièrement des messages. Tous ont ce point commun : on m'admire et me félicite pour avoir affiché mon visage sur un espace public, avec une pointe d'étonnement. Cela m'a fait réfléchir au long chemin qu'il faut parcourir pour s'assumer en tant que soumise.

 

Je suis persuadée que s'assumer en tant que soumise est un chemin long et parsemé d'embûches. En ce qui me concerne, cela fait cinq ans que je suis entrée dans ce monde. Je me souviens des tout débuts où mon compagnon d'alors me disait que « j'étais SM » : je devenais rouge jusqu'aux oreilles et niais farouchement. Et puis, peu à peu, l'idée a fait son chemin. J'ai commencé à me renseigner sur internet (en cachette, bien évidemment). Au fil des lectures, des discussions, je me suis surtout aperçue que l'idée que j'avais du « SM » était fausse. J'imaginais une bande de pervers dans des lieux tout à fait glauques, habillés de cuir, dont la seule idée était faire mal ou avoir mal. J'ai découvert au lieu de ça des gens tout à fait sains d'esprit, qui avait tout simplement trouvé leur voie.

Après avoir longuement espionné ce monde, j'ai voulu essayer. Oh, mais pas en me montrant. Je suis devenue une soumise virtuelle, bien cachée derrière l'anonymat de mon ordinateur. Cela a duré de longs mois. Peu à peu, j'ai voulu en avoir un peu plus... J'ai fait des rencontres, certaines bonnes, d'autres moins, voire traumatisantes. Mais chacune m'a apporté : elle m'a apporté une meilleure connaissance de moi et mes envies, de ce que je voulais et ne voulais plus... Et surtout, chacune m'a permis de m'assumer un peu plus.

Un jour, un ancien Dominant a voulu que je crée un blog. Je n'étais pas prête. Créer un blog est une sacrée étape : cela signifie « je suis soumise et je le publie sur internet ». Mais malgré ses fréquentes sollicitations, j'ai réussi à repousser l'échéance, encore et toujours, si bien que je ne l'ai jamais ouvert. Et finalement, un Maître a su me dire « Tu fais ce que tu veux, tu ne crées un blog que si tu en ressens l'envie. Le jour où ce sera le cas, je serai là pour te soutenir ». Et alors, je me suis sentie libre, libre d'être moi. Alors le blog est né. Quelques mois après, cette fameuse photo. J'ai longuement réfléchi avant de la publier. Mais l'heure était venue, et j'étais prête, tout simplement.

 

En conclusion, le secret pour s'assumer est de s'écouter. Aller à son rythme, ne pas céder aux pressions. Et accessoirement, avoir un Maître attentif, à l'écoute et patient (et je remercie ma bonne étoile chaque jour de l'avoir mis sur ma route) est un ingrédient qui y contribue grandement.

Par Lily
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Lundi 3 mai 1 03 /05 /Mai 11:26

Il faut une grande part d'abnégation et de dépassement de soi pour pratiquer le shibari. Ceux qui pensent que pratiquer le shibari ne consiste qu'à se faire porter par les cordes ou se faire ligoter (de manière plus ou moins contraignante) n'ont, je l'affirme, fait que survoler le sujet.

La douleur, et la difficulté du shibari est une douleur très spéciale. Comparons la par exemple à des coups de fouet. Un coup de fouet (ou de cravache ou de quoi que ce soit) est une douleur très vive mais instantanée. Lorsque l'on reçoit un coup de fouet, l'on a très mal sur l'instant mais dès que le coup est donné la douleur s'estompe et disparaît très vite. Cela est valable pour beaucoup d'autres pratiques SM : la bougie, les coupures au couteau, … Que l'on ne se méprenne pas surtout ! Je n'ai jamais dit qu'il ne fallait pas de dépassement de soi pour supporter cela. Personnellement il m'en faut beaucoup et j'ai à chaque fois besoin de puiser dans mes ressources pour subir le fouet ou la bougie.

 

Le shibari est une difficulté toute autre. Lorsque l'on pratique le shibari, en tant que modèle s'entend évidemment, la douleur est également très forte mais également lancinante, et je dirais presque paniquante. Être soulevé par une ou plusieurs cordes est une douleur très forte. Un shibari très contraignant, mettant le corps dans une position illogique pour lui l'est également. Ajoutez à cela l'impossibilité totale de respirer normalement. La respiration, particulièrement lors d'une suspension, est réduite à son minimum. Cela est très angoissant, voire paniquant. On sent que l'on manque d'air, on se sent presque étouffer, suffoquer, asphyxier. Et plus l'on cherche de l'air, plus on augmente la pression des cordes et plus cela devient intolérable. C'est personnellement un exercice que j'ai encore énormément de mal à accomplir. Enfin, et je reviens sur ma comparaison avec un coup de fouet : si je veux arrêter une séance de fouet (par mon safeword par exemple), la séance s'arrêtera net, à l'instant même où j'aurais dit stop. Si je veux arrêter une séance de shibari, au moment où je l'arrête, je sais qu'il me faudra encore tenir plusieurs minutes, le temps que le shibariste me détache. 
 

Pour dépasser cela, il faut puiser très profond en soi. Il faut réussir à s'évader, à sortir de son corps presque, sans quoi la douleur est intolérable et la séance, fichue. Il faut également garder son calme lorsque l'on sent l'air nous manquer. L'esprit de soumission, l'abnégation et le dépassement de soi sont indispensables pour pouvoir dire « Je tiens encore un tout petit peu ». J'affirme que la soumission est tout aussi présente pour une séance de shibari que pour supporter fouet, bougie, sang et autres délicieux sévices estampillés SM. 
 

J'espère finalement avoir réussi à vous faire partager ma vision du shibari et, pourquoi pas, avoir pu faire évoluer en vous l'image de celui-ci...

Par Lily
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 20:45

Cela a commencé comme de nombreuses fois : un mot mal placé, un mot de trop, et la punition est tombée. Me voilà donc bras attachés au plafond, les yeux bandés, subissant les coups de martinet que j'avais mérité. Soudain, deux mains me caressent. A qui appartiennent-elles ? Certainement pas à mon Maitre, je l'entends me parler devant alors que la personne qui me caresse est derrière moi. L'espace d'une seconde, je me dis qu'elles appartiennent certainement à une femme ; elles sont si douces, les caresses si sensuelles. Je sens son souffle chaud dans le cou, sa langue titillant mon oreille, ses doigts viennent vérifier l'humidité de mon sexe. La main de mon Maitre, si reconnaissable, me prend par les cheveux et me force à l'embrasser. Nous échangeons un baiser long, tendre, sensuel. Toujours pas le moindre mot de mon "caresseur". Maitre s'approche de mon oreille et m'ordonner de lui demander de le sucer. Oh non ! Pas ça ! Voilà pour moi l'humiliation suprême : demander à un inconnu quelque chose que je n'apprécie pas. Une vague moue lui fait comprendre mes réticences, mais mon Maitre est inflexible et je finis par m'exécuter. On me détache, me fait agenouiller un peu plus loin. Son sexe vient se présenter à ma bouche. Oh mon dieu, il est énorme ! Je ne peux guère prendre plus que le gland en bouche. Je fais de mon mieux, faisant jouer ma langue sur toute la longueur du sexe. Mon Maitre semble satisfait de ma prestation et me fait relever. Je crois ma punition terminée, mais déchante bien vite. Maitre me fait me pencher sur un lit, et je comprends bien vite que l'inconnu va me prendre. Des miliers d'images défilent dans ma tête : je ne suis à cet instant là plus qu'une chienne, une salope, une pute. Non, je suis moins qu'une pute puisque l'on ne me paie même pas. Je suis une pute bon marché qui n'a même pas le choix de ses clients. L'inconnu commence à me fouiller, puis constatant que je suis déjà bien ouverte, remplace ses doigts par son sexe. Je m'accroche au lit, aux draps, à tout ce que je peux. J'essaie de retenir mes cris, ayant peur d'attirer la foule curieuse et d'être l'objet de l'attention, mais sans résultat. Je gémis, je crie, je râle. La main de mon Maitre me maintient la nuque pour que je ne puisse pas me relever, tandis que je serre l'autre de toutes mes forces. Elle est mon seul lien avec Lui et pour rien au monde je ne le perdrais... L'inconnu s'agite en moi de plus en plus. J'ai l'impression que cela dure une éternité, j'en ai presque mal. Malgré tout, je m'accroche à l'amour de mon Maitre pour être la chienne qu'il attend. L'inconnu finit par se retirer, me laissant pour morte sur le lit. J'entends mon Maitre et l'inconnu échanger quelques mots, puis la porte se referme. Je suis enfin seule avec mon Maitre. Je suis tellement fatiguée que je ne peux guère plus échanger que quelques mots. Je n'ai jamais vu son visage, ni entendu le son de sa voix. Je passerai le reste de la soirée à regarder les visages à me demander si c'est lui ou pas.

Par Lily
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Dimanche 24 janvier 7 24 /01 /Jan 00:37

« Je porte les stigmates de la réalité de mon amour. J'aime contempler dans un miroir les traces que m'ont laissées les épreuves endurées lors des séances de soumission à l'être aimé. Je détaille les éraflures, les stries qui zèbrent ma peau nacrée, et je revis les intenses moments d'abnégation, comme si celle-ci me régénérait et me faisait renaître plus belle et mieux aimée »

Vanessa Duriès, Le Lien.


Comme Vanessa Duriès, j'ai à chaque fois une fascination impressionnante pour les marques que je porte, que mon Maître ou un autre a bien voulu me donner. Certaines soumises sont comme moi, d'autres crient au scandale. Je les comprends : comment peut-on être fière d'avoir abimé son corps ? N'oublions pas que le moindre bleu est un traumatisme du corps, un éclatement d'un ou plusieurs vaisseaux sanguins. Pour moi, mes marques sont une matérialisation de ce que j'ai subi. Moi qui suis d'ordinaire très douillette, je peux aller très loin dans la douleur lorsque je suis en séance. Ces marques en sont la preuve. Elles disent « Voyez Maître, voyez vous tous, ce que j'ai été capable d'endurer pour l'amour de mon Maître. ». Je repense en particulier à une fois où un Maître a eu la bonté de me fouetter avec un vrai fouet. C'était la première fois pour moi et je me rappelle avoir dû faire appel à toute ma concentration et à tout mon amour pour le supporter. Mais le soir venu, je vis de grandes et belles stries rouges sang orner mes fesses. J'étais absolument ravie. Je regrette même aujourd'hui ne pas les avoir prises en photo, tant j'en étais fière. Pourtant, je n'ai jamais su exactement pourquoi je ressens cette fascination pour mes marques. J'ai quelques débuts de réponses, que j'ai tenté ici de vous exposer, mais la question reste en suspens...

Par Lily
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 10:55

Depuis quelques temps, mon Maître a décidé de se reprendre en main. Après un certain relâchement, voire un relâchement certain, Il a changé sa façon de faire. Moi qui pouvait pousser très loin les bêtises avant de me retrouver punie, maintenant il réagit dès la première. Quel changement ! Malgré que je sois très heureuse de ce changement, j'avoue que j'ai un peu du mal à m'y habituer. Mon coté « peste » reprend souvent le dessus. Mais ce qui a changé, c'est que maintenant, j'y réfléchis à deux fois avant de venir le taquiner.

Par Lily
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Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 18:15
Mon corps dénudé
Par vos yeux observés.
Mes yeux inquiets
Epient, inquiets.
Mon corps excité
Par ces plaisirs inavoués.
Mon esprit intimidé
Par votre autorité.
Mes mains attachées,
Les poings serrés,
Mes jambes écartées
cherchent vainement à se resserrer.
Mon dos marqué par les traces du fouet
Mes fesses chauffées
Cherchent les fessées.
Ma bouche fermée
Retient des cris étouffés.
Mes seins dressés,
Torturés, pincés.
Mon sexe mouillé,
Quelquefois titillé,
Ou carressé ou forcé,
Parfois même frappé.
Et dans mon obscurité
Je perds ma réalité.
Par Lily
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Jeudi 5 novembre 4 05 /11 /Nov 21:25

Samedi soir, nous étions au Cupidon, un club libertin qui organise une fois par mois des soirées SM. Mon Maitre et moi aimons bien l'ambiance qui y règne. Moi, je dois avouer que j'aime beaucoup ces soirées, car je peux me sentir soumise au grand jour.


Après le diner, pris sur place, Maitre m'a entraînée dans la salle du fond pour jouer. Il me fit d'abord agenouiller sur une table et me fessa. Un coup d'oeil rapide dans le miroir en face m'apprit qu'une rangée d'hommes se délectait déjà du spectacle. Le fait de se sentir observée est très troublant : c'est d'un coté très flatteur car on sent l'envie de ces messieurs, on se sent honorée. Mais c'est très intimidant. C'est pourquoi je me cachai les yeux pour me recentrer sur mon Maitre qui s'occupait de moi. Il me fit ensuite descendre de la table et m'entraina au fond de la salle, à genoux. Là, il fit signe à un autre Maître de venir s'occuper de moi. Il me donna des coups de martinet, doucement d'abord pour aller crescendo. Ce Monsieur maniait très bien le martinet, il faut le dire. Il me fit aussi plusieurs fois répéter, voire crier que j'étais une bonne chienne. C'est une chose que j'ai du mal à faire, et même si je sais que j'en suis une, j'ai encore du mal à le dire ; je m'executais malgré tout bien évidemment....


Après une pause bien méritée, Maître décida d'essayer la Croix de St André qui lui faisait de l'oeil depuis un bon moment. Il m'y attacha et me fouetta longuement. Il fit signe à une Maîtresse de l'aider dans sa tache. Elle me caressa, me pinça, m'embrassa. Puis il lui fit signe de jouer avec un oeuf vibrant qu'il avait auparavant introduit en moi. Elle le faisait sortir et rentrer, et l'oeuf continuait de vibrer ; j'eus beaucoup de mal à contrôler ma jouissance.

Enfin, mon Maitre décida d'essayer d'autres jeux. Il me conduisit à une sorte de table gynéco et entreprit de me dilater à l'aide de notre plug gonflant. Je le sentais remplir de plus en plus mon ventre, jusqu'à la limite de la douleur. Je sentais mon ventre chauffer, palpiter ; je me contortionnais de plus en plus. Mon Maître ne s'arrêta pas pour autant et m'amena très facilement à la jouissance. Comme la première fois, de nombreux spectateurs étaient autour de moi, ce qui flatta beaucoup mon Maître. Ce spectacle donna une idée à un Monsieur :après m'avoir laissé récupérer, il me proposa de me faire fister par sa femme. Très désireuse de connaître cette nouvelle expérience, je donnais mon accord sous réserve d'avoir celui de mon Maitre. Ce qui fut dit fut fait, et une dame très gentille, et que je trouvais très douce s'y entreprit. Elle ne put me fister complètement, mais mon Maitre me dit que pour une première fois, il était assez fier de moi.


Comme d'habitude, nous avons passé une excellente soirée.

Par Lily
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Mercredi 28 octobre 3 28 /10 /Oct 18:48

Samedi, nous avons été invités mon Maitre et moi par Maitre Jmi et sa soumise Naty.


Après avoir été isolées un petit moment dans les chambres, nous avons été présentées une par une. Agenouillées, les yeux bandés, le cul offert, jambes maintenues écartées par une barre, nous avons procédé à notre présentation. Je sentais la présence des Maîtres tout autour de moi, et je fis ce que je pus pour cacher mon appréhension ; puis les Maitres se sont également présentés à nous, fouillant notre intimité et nous assenant de petits coups. Notre plaisir était déjà plus que palpable.
Les présentations terminées, nous avons eu droit à une coupe de champagne et à nous restaurer. Les Maîtres ont ensuite voulu faire une photo de nous toutes : alignées, le cul offert. Ils ne purent résister à l'envie de nous fesser ou fouetter, et chacune de nous le fut.
Ensuite, chaque Maître prit une soumise pour la fouetter ou la faire jouir. Pour ma part, c'est Maitre Jmi qui a eu la bonté de s'occuper de moi. Avec un plug gonflant et un chapelet de billes, Maitre Jmi se mit à me branler mes deux orifices, et la jouissance fut rapide à venir, longue et intense. Je me cramponnais, gémissais, me contorsionnait sans pouvoir me contrôler. Je sentais cette chose gonfler en moi de plus en plus sans pouvoir l'arrêter. Il me laissa complètement vidée, car satisfaite. Ensuite, presque chacune de nous fut attachée à une chaîne qui pendait du plafond et fouettée par Maitre Max. Chaque coup était minutieusement calculé, régulier, chacun allant crescendo au précédent. Je sentais la brulure des coups qui faisait monter l'excitation en moi. J'eus beaucoup de plaisir à subir les coups de Maitre Max. La soirée continua un long moment et tout le monde s'est, je crois, bien amusé.
Je remercie chacun des Maitres qui a eu la bonté de s'occuper de moi, d'une manière ou d'une autre. Ce fut une soirée mémorable, en bien des sens...

Par Lily
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Jeudi 17 septembre 4 17 /09 /Sep 20:59

Samedi dernier, mon Maitre avait organisé une soirée avec un autre couple, Naty et Maitre Jmi. C'était la première fois pour moi. Je connaissais Naty car nous discutions ensemble depuis environ un an, mais c'était la première fois que je la rencontrais. Voilà comment cela s'est passé :


Pour moi, tout a commencé dans la salle de bain. Mon Maître m'avait dit d'être prête, habillée (toute en noir : haut et jupe, lingerie, porte jarettelles et bas, ainsi que des talons aiguilles). Debout, les yeux bandés, enfermée dans la salle de bain, j'attendais. L'angoisse montait de plus en plus. J'ai entendu Naty et Maitre Jmi arriver. Après avoir tout préparé, mon Maitre est venu me chercher. Tenue par la laisse il m'a guidée devant Maitre Jmi et m'a dit de me présenter, ce que j'ai fait d'une voix tremblante.

Puis il m'a installée devant le fauteuil, tête dans les coussins et mes reins offerts. Je sentis la main de Maitre Jmi flatter ma croupe, puis me fouiller. Je n'osais bouger. Quelques coups ont cinglés mes fesses. Ce fut le tour de Naty, qui avait une punition a subir. Maitre Jmi et mon Maitre la lui administrèrent. Elle reçut la punition sans broncher, étouffant juste quelques gémissements. Pour la récompenser, Maitre Jmi lui présenta son sexe, qu'elle suça avidement. Puis il me le présenta et je fis de mon mieux. Nos Maitres nous ont relevé, enlevé nos bandeaux, puis offert une coupe de champagne, pendant que je faisais le service.

Après nous être tous restaurés, nos Maitres nous ont remises en place. Naty fut attachée la première, jambes et bras en croix. Son Maitre lui administra la cravache, puis le fouet. Le plaisir de Naty se ressentait, en devenait presque palpable. Elle avait du mal à tenir debout, tenue par la corde qui lui suspendait les bras au dessus de la tête, quand un orgasme la prit. On détacha Naty puis je pris sa place. Les coups se succédaient, j'étouffais mes cris. Je sentais mon sexe gonflé de désir, et mon plaisir couler entre mes jambes. Mon Maitre me branla avec le vibro si fort que je perdis pied. Puis il me détacha à nouveau. Nous fûmes installées dans la même position qu'au début, et nos Maitres reprirent cravache, martinet, fouet... Puis Maître Jmi s'amusa avec le couteau sur la croupe de Naty, lui arrachant des gémissements, puis faisant jaillir une toute petite goutte de sang.

La soirée continua. Un peu plus à mon aise, mon tempérament rebelle reprit le dessus. J'accumulais les taquineries et provocations. La punition ne fut pas longue a venir, et je reçus le fouet qui me laissa de belles marques rouges. Mes fesses me cuisaient à vrai dire. Mon Maitre me permis de m'asseoir à coté de Lui, et me dit de regarder Maitre Jmi fouetter le sexe de sa soumise a l'aide d'un petit martinet. Les coups étaient réguliers, contrôlés. Soudain, Naty prit le fouet et se fouetta vigoureusement le sexe, faisant surgir un autre orgasme. Elle se calma au bout de plusieurs minutes, et paraissait à bout.

Mon Maitre me fit offrir le café à tout le monde, puis ce fut l'heure de nous séparer

 

Ce fut une soirée riche en émotions, et qui en appellera bien d'autres. Merci Maitre Jmi et Naty de vous être joints à nous, ce fut très réussi. Et merci Maitre, pour cette merveilleuse soirée.

Par Lily
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Dimanche 13 septembre 7 13 /09 /Sep 16:12

Avant toute chose, je dois vous parler de mon Maître.

C'est un homme bon, attentionné, gentil, mais qui sait également être autoritaire, inflexible quelques fois. Il sait rester fort et calme dans la tempête. Il sait me tendre la main quand je ne sais plus mon chemin. Il est l'épaule sur laquelle je pleure.
S'il y a une chose à savoir sur Lui, c'est qu'Il est mon Maître.

Mon Maître aime mon coté "peste rebelle" comme Il dit. Il a quelques fois un peu de mal à le gérer, mais globalement, Il s'en tire plutôt bien. Il sait me mettre en confiance à 100%.

Voilà un bref aperçu de l'Homme que je vénère, mais j'aurai encore l'occasion de vous en parler. Je ne taris pas d'éloge à son sujet.

Par Lily
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